HDA U2. ANALYSE DE LA CHANSON
Page 1 sur 1
HDA U2. ANALYSE DE LA CHANSON
L'introduction
Le morceau commence par l'une des intro batteries les plus connues au monde. Ce "riff" est repris tout au long de la chanson. Il rappelle les roulements de tambours militaires joués pendant les défilés. Ca n'a rien de surprenant lorsque l'on sait que Larry (le batteur du groupe) a longtemps fait partie d'une fanfare où il jouait de la caisse claire. Vient ensuite le riffe de guitare, lui aussi légendaire qui est repris tout au long de la chanson.
Le 1er couplet
Bono semble desabusé par ce qu'il voit aux informations, il ne peut rester insensible et impuissant ("i can't beleive the news today, i can't close my eyes and make it go away"). Combien de temps aura t'il besoin de chanter cette chanson ? ("how long must we sing this song"). Dès ce soir les irlandais se réuniront pour ne former plus qu'un ("cause tonight we can be as one").
Le 2eme couplet
Le ton se durcit. Bono y décrit un champs de bataille ("broken bottle under children field"), des corps gisent sur le sol ("body accross the dead en street") et il crie sa colère ("i put my backup against the wall").
Solo
Le solo est très original par sa construction. Il ne reprend pas la ligne melodique du morceau mais emprunte plutôt une technique propre à la musique irlandaise. Il s'agit de la technique du bourdon qui utilise les cordes à vide afin de faire raisonner le solo.
Le pont
Juste après le solo arrive une parenthèse. Bono demande d'arrêter de pleurer ("wipe your tears away"), preuve que la guerre n'est pas une fatalité et qu'il faut garder espoir envers l'avenir.
3eme couplet
Bono y fustige les médias. Ceux qui nous montrent la violence au quotidien et qui du fait rendent difficile le discernement entre la fiction et la réalité et qui, en quelque sorte, banalisent la violence au point qu'elle ne choque plus ("and it's true we are imune when fact are fiction and tv reality"). Pourtant les gens pleurent et de nombreuses gens risquent encore de mourir parfois dans une totale indifférence ("and todays the millions cry, we eat and drink while tomorow they die"). Mais la bataille réelle ne fait que commencer. Non pas celle qui va voir la victoire des catholiques et des protestants mais celle qui verra la victoire de Jésus.
Le morceau commence par l'une des intro batteries les plus connues au monde. Ce "riff" est repris tout au long de la chanson. Il rappelle les roulements de tambours militaires joués pendant les défilés. Ca n'a rien de surprenant lorsque l'on sait que Larry (le batteur du groupe) a longtemps fait partie d'une fanfare où il jouait de la caisse claire. Vient ensuite le riffe de guitare, lui aussi légendaire qui est repris tout au long de la chanson.
Le 1er couplet
Bono semble desabusé par ce qu'il voit aux informations, il ne peut rester insensible et impuissant ("i can't beleive the news today, i can't close my eyes and make it go away"). Combien de temps aura t'il besoin de chanter cette chanson ? ("how long must we sing this song"). Dès ce soir les irlandais se réuniront pour ne former plus qu'un ("cause tonight we can be as one").
Le 2eme couplet
Le ton se durcit. Bono y décrit un champs de bataille ("broken bottle under children field"), des corps gisent sur le sol ("body accross the dead en street") et il crie sa colère ("i put my backup against the wall").
Solo
Le solo est très original par sa construction. Il ne reprend pas la ligne melodique du morceau mais emprunte plutôt une technique propre à la musique irlandaise. Il s'agit de la technique du bourdon qui utilise les cordes à vide afin de faire raisonner le solo.
Le pont
Juste après le solo arrive une parenthèse. Bono demande d'arrêter de pleurer ("wipe your tears away"), preuve que la guerre n'est pas une fatalité et qu'il faut garder espoir envers l'avenir.
3eme couplet
Bono y fustige les médias. Ceux qui nous montrent la violence au quotidien et qui du fait rendent difficile le discernement entre la fiction et la réalité et qui, en quelque sorte, banalisent la violence au point qu'elle ne choque plus ("and it's true we are imune when fact are fiction and tv reality"). Pourtant les gens pleurent et de nombreuses gens risquent encore de mourir parfois dans une totale indifférence ("and todays the millions cry, we eat and drink while tomorow they die"). Mais la bataille réelle ne fait que commencer. Non pas celle qui va voir la victoire des catholiques et des protestants mais celle qui verra la victoire de Jésus.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum